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Le concept d’Ardent se trouverait presque dans son nom. Ce qui fait le sel de ce restaurant bistronomique au décor léché situé à quelques encablures des Grands Boulevards, c’est sans conteste sa carte composée autour du feu qui met à l’honneur des cuissons brutes. Poissons, viandes et autres légumes, se retrouvent fumés, braisés ou grillés sur le grill géant installé dans la cuisine ouverte. Autant de mets qui, lorsqu’ils arrivent dans l’assiette, parviennent à nous satisfaire autant par leur goût que par leur tendreté. Ne partez pas sans goûter à la mousse au poivron grillé, absolument déstabilisante.
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Depuis mai dernier, Charley Breuvart officie dans les cuisines du restaurant Ardent Paris (75), projet de Charles Nikitits (L’Office – 75) et d’Arthur Lecomte (Bien Élevé, Bien Ficelé – 75). Il dévoile désormais sa nouvelle carte, qui met à l’honneur tous types de cuissons, du grill à la fumaison.
Au menu : poissons, mollusques, viandes et crustacés sont passés au grill, tout comme les fruits et les légumes. Les convives pourront par exemple découvrir une Anguille nantaise au barbecue, cébette et sucrine grillées, gingembre confit. En semaine, une formule entrée-plat-dessert à 25€ est proposée. Le tout s’accompagne d’une carte des vins imaginée par le chef sommelier Olivier Dopke (ex-Quinsou).
Charley Breuvart, passé par des restaurants gastronomiques et bistronomiques, mais aussi par plusieurs brasseries, a rejoint en 2018 Charles Nikitits en tant que chef à L’Office. Il poursuit aujourd’hui leur collaboration, avec les équipes d’Ardent Paris.
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Charles Nikititis et Charley Breuvard ? On les a connu à l’Office, au bout de la rue Richer. Le voici chez Ardent, cadre moderne, cuisine apparente, table en bois, chaises design, plus carte contemporaine : on connaît la musique. Elle est bonne ! Les deux compères, qui se sont connus au Royal Monceau, où le premier était barman, veillent au grain. Aubergiste aguerri, veillant sur une carte des vins pleine de richesses, Charles a l’oeil à tout.
Passé sous la férule de Jean-François Rouquette du Pur au Park Hyatt Vendôme sans omettre deux saisons au K2, l’un des deux étoiles discrets de Courchevel, Charley sait jouer de la cuisine slash, mixant mets de saison, idées tradis revues et préparation en vogue. Il y a d’abord la superbe affaire du déjeuner à 25 € tout compris: la royale d’anguille fumée/émulsion épinard, la (superbe) salade César, avec volaille fumée et ail des ours, plus condiment à l’anchois, comme le parfait glacé (plutôt un riche sorbet) fraises et poivron brûlé avec crumble de halva et pistache.
Mais aussi les mets malicieux à partager : lentilles beluga, anguille et sabayon fumé aux noisettes, tartare de veau aux crevettes grises et chorizo piquant ou encore asperge blanche grillée plus sabayon noisette et olive Taggiasche. La maison joue aussi la belle pièce de viande à partager (côte de veau ou de boeuf) et la poitrine de cochon caramélisée avec sa pulpe de céleri, poireau grillé et condiment amandes fumées dans son jus de viande
Et, côté desserts, le crémeux vanille avec biscuit de Savoie, tuile de riz et glace sésame poivre a du répondant. Joli choix de vins au verre dont le blanc du Baron de Bachen de Michel Guérard dans les Landes, joli vouvray fruité du Clos Therriere les Pleurs et gouleyant chinon « les sous-marins rouges » du domaine de la Martinière, histoire de démontrer que la cave maison a du répondant. In fine, l’armagnac l’Encantada fait du bien par là où il passe…
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Ardent, le plus authentique
La cuisine au feu est au centre de cet établissement, et cela dans tous les sens du terme. Au milieu de la salle à manger, la cuisine ouverte avec son imposant grill accueille les clients. Ici, pas de superflus, mais une démarche saine et écoresponsable avec des produits sourcés et locaux. C’est le chef Benoît Leconte qui orchestre en cuisine en proposant une expérience conviviale, gourmande et contemporaine. Pour ce qui est des produits, ils sont cuits de façon brute, c’est-à-dire sans ajout de matière grasse. Tartare de veau, encornet, échine de cochon… On les retrouve grillés, fumés, saisis, rôtis ou encore confits. Les desserts n’échappent pas à la règle et sont, eux aussi, cuits sur le feu. C’est le cas de la poire confite et saisie sur le grill, de la meringue au charbon mais aussi de la ganache au chocolat fumé. Une adresse à découvrir sans plus attendre.
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Arthur Lecomte (Bien Élevé et Bien Ficelé) et Charles Nikitits (L’Office) ont décidé d’unir leurs talents pour ouvrir ce tout nouveau restaurant voué à la cuisson à la braise. Ils ont confié à l’architecte d’intérieur David-Olivier Descombes, fondateur de l’agence DOD, le soin d’imaginer un cadre en harmonie avec le thème de la maison. Ainsi est né ce bel espace aéré et baigné de lumière, grâce à de grandes baies vitrées coulissantes, avec des murs habillés de carreaux blancs en faïence, des tables et des sièges et bois clair, des banquettes en cuir naturel, et un bar intimiste entièrement noir, face à la cuisine ouverte sur la salle au centre de laquelle se trouve le grand grill posé sur des braises ardentes. Côté sourcing, les deux associés ont entrepris une démarche éco-responsable, en privilégiant des viandes sélectionnées en direct auprès des éleveurs français… mais également des pois- sons de petits bateaux et même des légumes et végétaux d’Île-de-France ; car ici la “cuisine au feu” ne se limite pas aux mets carnés ! Tout ce qu’il faut pour se régaler d’une brochette de bœuf Angus sauce aux herbes (13 €) servie en entrée, puis d’un pavé de lieu jaune avec pulpe de butternut torréfié, pleurotes, blettes grillées et jus d’arêtes (28 €), et enfin d’un dessert au chocolat fumé, streusel cacao et glace au poivre… bien épicée (12 €). Si vous aimez les plats de partage, optez pour l’une des belles pièces comme la sole de Vendée, la côte de veau du Châteauneuf, la côte de cochon du Perche… facturées au poids. Côté vins, les patrons ont fait appel à Olivier Dopke du restaurant étoilé Quinsou qui a sélectionné 150 références nature, bio ou biodynamiques. Menu à 25 € au déjeuner en semaine.
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Rue Richer à Paris, le restaurant Ardent embrase notre appétit grâce à une cuisine à la flamme qui se veut responsable, inventive et moderne. De l’entrée au dessert en passant par les cocktails, chaque plat goûte au feu du gril, à un moment ou un autre de son élaboration. Vous brûlez d’en savoir plus ? Alors, suivez-nous !
Ardent : décor chaleureux pour une cuisine flamboyante
Ouvert depuis septembre, Ardent est la nouvelle adresse d’Arthur Lecomte et Charles Nikitits, que l’on retrouve aussi derrière les établissements Bien Élevé, Bien Ficelé ou encore le bistrot L’Office.
La passion et l’ardeur des deux amis les ont amenés à lancer Ardent, un lieu dédié à la cuisson au feu et à la flamme à laquelle s’ajoutent la convivialité d’une ambiance feutrée, la gourmandise d’une cuisine généreuse et le sourcing de produits de qualité issus d’une agriculture responsable.
Le résultat ? Une réussite ! Tout d’abord, parlons de l’ambiance et du décor. On se laisse charmer par un design épuré, entre bois, béton et carrelage mural, donnant un sentiment d’architecture moderne, aérée et intimiste. Si vous aimez les ambiances confidentielles, n’hésitez pas à (re)venir le soir pour un dîner rythmé par la lumière chaleureuse et les flammes qui s’échappent de la cuisine.Côté plats, tout passe par le gril à charbon. Ardent propose un menu déjeuner (entrée, plat, dessert) à 25 euros, tandis que le soir, on peut jeter son dévolu sur une liste de plats particulièrement alléchants.
Mettant un point d’honneur à une consommation locale, diversifiée et saine, l’équipe en cuisine limite l’ajout de matières grasses afin de travailler le produit et son goût d’une nouvelle façon. Ici, on grille, on saisit, on confie vos viandes, poissons et légumes afin de vous faire découvrir des saveurs rares et brutes.
Laissez-nous vous donner quelques exemples. En entrée, on vient braiser un excellent maquereau nacré, que l’on vous sert avec une crème de cresson et des pommes de terre grenailles. En plat principal, les becs végétariens peuvent se laisser tenter par des carottes de couleur avec un crémeux de carotte, des shiitakes et draines de moutarde. Pour les carnassiers, il y a aussi de belles pièces à partager comme la côte de veau du Châteauneuf, côte de cochon du Perche ou encore langoustines bretonnes – tout ça à la flamme. Et pour le dessert, toujours en apportant une pointe de gril, on vous recommande le chocolat fumé, streusel cacao et sa glace au poivre. Le reste de la carte est à découvrir sur leur site.Ardent : une carte de vins et des cocktails “fumés”
Chez Ardent, il y a aussi un bar et il ne se dérobe pas au concept. Car oui, même les cocktails flirtent avec la flamme des cuisines. Parmi leurs boissons signatures, on retrouve par exemple le Cléo, à base de mezcal, de champagne, de citron, de menthe et de concombre. Ce n’est pas un hasard si l’on retrouve ici du mezcal sachant que cet alcool d’agave présente un parfum fumé provenant de la torréfaction de cette plante succulente originaire du Mexique. Ainsi, on découvre avec le cocktail Cléo une boisson au goût fumé qui se marie à la perfection avec les différents plats du restaurant. Il est aussi possible d’esayer le cocktail Lou à base de Whisky tourbé, citron, blanc d’oeuf et angostura. Cet autre mélange rappelle les saveurs cuites grâce au malt du whisky qui vient s’associer à la perfection avec les différentes assiettes de la carte.Chez Ardent, on joue avec le feu – dans le bon sens du terme. Tout est parfaitement maîtrisé, de l’assiette au cocktail. Chaque ingrédient vient embraser vos palais, que ce soit par sa texture, sa saveur, son parfum. Là-bas, on redonne de la chaleur à vos assiettes et on vient raviver la flamme de vos appétits afin de vous faire passer un moment culinaire des plus délicats.
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Nouvelle adresse de la rue Richer, Ardent Paris est née de l’association entre Arthur Lecomte, propriétaire des restaurants Bien Élevé et Bien Ficelé et de Charles Nikitits, aux manettes de l’Office.
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Voisins et concurrents qui s'apprécient, les propriétaires de l'Office et du Bien Élevé se sont associés pour ouvrir une troisième table entre les deux autres, manière de sceller leur histoire partagée et désormais en partie commune le long de la rue Richer. Et pour se différencier, c'est une cuisson «brute» à la flamme qui donne le nom et le ton de ce joli bistrot baptisé Ardent. Une cuisson brute mais délicate à la fois, qui permet à la sucrine et au cochon de rester tendres et onctueux en voisins d'une belle purée de maïs, ou bien à un superbe morceau de lotte de fondre en bouche avec sa pulpe de potimarron torréfié et ses pleurotes, alors qu'il a bien pris un léger coup de feu en surface. Cette cuisson maîtrisée se double d'un savoir-faire certain en matière de desserts, illustré par une glace au poivre réussie et pas banale et sa sœur au sésame noir, moins typée mais agréable elle aussi. Autrement dit, pas un comptoir de viande grillée, mais bien une adresse lumineuse et gourmande où de francs sourires apportent avec entrain des assiettes travaillées et de saison. Très belle carte des vins
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Le restaurant Ardent a ouvert à Paris dans le quartier du Faubourg-Montmartre en septembre après quatre mois de travaux. Mené par l’agence d’architecture DOD dirigée par David-Olivier Descombes, Ardent est un projet qui joue avec les contrastes, en jonglant avec un aspect plus brut, à l’image de la cuisine proposée à la carte.
Depuis sa création en 2009, l’agence d’architecture DOD mène des projets à la fois pour le résidentiel et le contract. Son fondateur, David-Olivier Descombes, formé à l’École Supérieure d’Architecture Intérieure de Lyon et à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles, aime travailler les espaces pour en créer des lieux uniques, qui ressemblent le plus possible à ses clients. « Je veux faire des projets qui soient ceux des clients, pas les miens. C’est quelque chose de très important pour moi » confie David-Olivier Descombes. Avec Ardent, le défi qui lui a été lancé avec son équipe a été de réhabiliter un ancien restaurant de cuisine asiatique en un lieu à la fois simpliste mais avec tout de même une touche atypique.Un équilibre dans les contrastes
Avec une cuisine dite « brute », en raison de la cuisson au feu de bois de ses plats de l’entrée au dessert, le restaurant Ardent est le résultat d’un travail sur les contrastes et les espaces de partage. « Plus il y a de contraste et plus on arrive à transmettre de choses selon moi » explique l’architecte d’intérieur. Ainsi, là où l’espace bar et cuisine se fondent dans des murs et du mobilier noir, le reste de la salle s’appuie sur des tons plus clairs, accentués par la lumière naturelle produites par les baies vitrées qui entourent le restaurant, offrant ainsi un contraste intéressant. Les tables, les chaises et les banquettes s’habillent de tons clairs avec l’utilisation de cuir et de bois. Quant aux murs, ils sont ornés de miroirs aux allures vintages tandis que des carreaux de carrelage blancs tapissent l’espace salle à manger.
À travers l’utilisation de matériaux tels que du bois brûlé pour l’espace cuisine, du cuir naturel pour les banquettes, du bois pour les tables et chaises ou encore du carrelage pour les murs, l’agence DOD offre aux clients un jeu et une harmonie des matières, pour un résultat tout en sobriété. « Je ne voulais pas être dans la sophistication. Nous avions un point de départ : le côté brute de la cuisine, il a donc fallu jouer avec les matières pour proposer un aspect plus doux au reste de l’espace, pour arriver à un équilibre » conclu-t-il.
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Prêts à prendre un coup de chaud ? Direction la rue Richer où le bien nommé Ardent balance du très très hot sur son grill géant. Un concept de restaurant pensé par deux amis restaurateurs déjà installés dans le quartier, Arthur Lecomte (Bien Ficelé) et Charles Nikitits (l’Office), bien décidés à allumer le feu.
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Le nouveau restaurant Ardent rue Richer à Paris propose uniquement des plats passés par les flammes de son imposant gril qui trône en cuisine.
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Aller au charbon
« Braise » et « Ardent », Paris
Retour de flamme pour la cuisson au feu ! Avec l'ouverture, dans le VIIIe arrondissement, de « Braise » où officie, seul en scène, le jeune chef Stéphane Manigold, 26 ans, ex- « Substance ». L'autre adresse enflammée du moment s'appelle « Ardent », dans la rue Richer, nouvelle table de Charles Nikitits (« L'Office ») et d'Arthur Lecomte (« Bien Elevé » et « Bien Ficelé ») équipée d'un grill ouvert à charbon de bois Mibrasa. Un menu court resserré autour de produits sourcés en direct auprès de petits producteurs et pêcheurs qui fait la part belle à la lotte, l'échine de cochon, la côte de veau ou le maquereau. braise.paris et restaurant-ardentparis.com
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Tout feu tout flamme au sein du restaurant Ardent, une nouvelle table éco-responsable dans le 9e arrondissement, dédiée à la cuisson à la flamme. Ici, tout le monde est logé à la même enseigne, viandes, poissons mais aussi légumes !